Tridivia
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La légende

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Message par Wobmiar Ven 23 Mai - 17:11

Il était une fois existait un monde. Il était peuplé de toutes sortes de créatures, des animaux pacifiques, d'autres moins. Les ressources étaient très nombreuses, dans la terre, l'eau et le ciel. Différentes dimensions vivaient en harmonie, le jour et la nuit se partageaient le temps et l'espace, bref, la planète et tout ce qui s'y rattachait vivaient en équilibre. Ce monde s'appelait Tridivia. Mais cet équilibre parfait, cette vie d'interactions stables et durables, n'était pas à l'abris de tout danger.

Dans un endroit reculé, au centre même du monde, existe une structure, un bâtiment, une chose indescriptible, si incroyable, chaotique, impossible et en même temps si harmonieux que cela échappe à tout esprit de conception. Cet endroit avait toujours été là, et ne semblait avoir été fabriqué par personne. Il fut appelé le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi. Ce nom était tout, toute les descriptions inimaginables au bâtiment, toutes les caractéristiques impensables d'un tel prodige, d'une telle stature. Il n'était pas beau ni laid, ni grand ni petit, ni encore coloré, lumineux ou sombre. Il était le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi, tout simplement. La structure ne se trouvait pas à un endroit spécifique, mais ne bougeait pas non plus. Il est dit aussi qu'il se déplace dans le temps, et est partout, nulle part, tout le temps et jamais à la fois.

Sur Tridivia existe une légende. Personne ne sait d'où elle vient, et encore moins son auteur. Mais tout le monde semble la connaitre comme si chacun en était l'auteur. La légende raconte que le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi possédait trois salles. Chaque salle contenait un sceau. Chacun de ces sceaux représentaient les racines de l'équilibre de ce monde, des racines qui coordonnaient toutes les lois spatio-temporelles de ce monde. La légende annonce la venue de 3 Porteurs des sceaux, une par pièce. Il est prémonisé que ces 3 êtres viendront, entreront dans le bâtiment, et se verront conféré des pouvoirs comparables au divin hypothétique.

Des générations et des générations durant, les gens, attirés par le pouvoir, et aussi par curiosité, s’essayèrent. Des guerriers, des magiciens, des créatures de toutes sortes et de toutes races tentèrent le grand saut, et pénétrèrent dans l'une des 3 salles. Des groupes entiers de personnes entrèrent en même temps.

Personne n'en ressorti jamais.

Nul ne sut les secrets des salles. Le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi resta un mystère pendant des siècles et des siècles. Vérités et mensonges, rumeurs, c'est avec de la contemplation mitigée par de la peur que les tridiviens continuèrent de vivre dans le même monde que cette énigme. Les aventuriers se raréfièrent, et bientôt on parla plutôt de cela comme un piège. Puis rapidement la légende tomba dans l'oubli. Les vieux livres poussiéreux en faisant mentions furent abandonné au fond des bibliothèques. Le monde entier recommença à vivre, comme si cet endroit n'existait même pas. Certains finirent même par croire au mythe, que tout n'était que fruit de l'imagination fertile des habitants de la planète et des autres dimensions.

À une époque plus récente, dans un royaume très prospère et animé, vivait un prince. Le jeune homme, du nom complet Léossier Zhan Némahorr, n'était pas quelqu'un de très bavard, ni très social. Mais il était un génie, et s'il était un maître en connaissances magiques, ses talents de mathématicien et son goût pour les technologies lui permirent de se forger rapidement une réputation. Il était capable de fabriquer les machines les plus complexes, les plus puissantes de tout le pays, de tout Tridivia. Prétendant au trône, il semblait plus préoccupé par sa maîtrise des différentes énergies du monde qu'à une administration ardue. Son rang lui permit des études de plus en plus poussées. Sa soif de connaissances semblait inépuisable. Puis un jour il atteignit sa limite. Il avait tout appris. Il ne pouvait plus rien assimiler, et cela le mis dans une rage immense. Il ne pouvait concevoir un monde aussi vide, qui avait tant de potentiel, mais qui ne voulait pas lui donner. Alors il partit à la recherche de savoirs. Pendant des années et des années, il parcourut les villes et les villages, interrogea chaque individu. En vain. Il ne trouvait rien. Sa vie ne faisait plus aucun sens, il songea même au suicide.

Par un matin, alors qu'il allait abandonner, il découvrit un livre. Dans ce livre était écrit la façon de se rendre au Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi. Léossier, connaissant vaguement la légende, se mit à réfléchir. Et si cet endroit pouvait lui permettre d'accomplir son but? Sans attendre plus longtemps, il se mit en route. Devinant ses intentions, le propriétaire du livre alla avertir ses parent, le roi et la reine, de la mission suicide de leur fils. Accompagnés de plusieurs membres de la famille, ils arrivèrent au Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi au moment où le prince allait pénétrer dans l'une des salles. Ils tentèrent tout ce qu'ils purent pour le convaincre de rester. Mais Léossier savait que la vie actuelle n'était pas celle qu'il voulait. Il n'avait plus rien à perdre. Alors il entra. Et ne ressortit pas.

Sa famille était bouleversée, et décida de préparer une cérémonie d'enterrement digne de ce nom. Le roi et la reine invitèrent tout le royaume devant cet endroit mythique, engagèrent les meilleurs maîtres de cérémonie de toute la planète. Tout le monde allait pouvoir admirer le courage de leur fils, qui avait bravé la légende même, l'endroit le plus craint de tous. Le prince avait tant servi par ses connaissances, ses machines et sa magie que personne ne pouvait rester indifférent à sa mort. C'est donc dans une plaine gigantesque que se rassemblèrent plusieurs milliers de personnes. Pendant 3 jours durant, les cérémonies durèrent. Il y eu festins, joies, pleurs, commémorations. Enfin, le quatrième jour, il fut temps de mettre en terre le cercueil symbolique, vide. Un trou fut creusé juste devant la porte de la salle où avait disparu le jeune homme. Le cercueil y fut déposé délicatement.

Soudainement, le monde sembla s'assombrir. On regarda vers le ciel. Tout devenait lentement sombre, mais il n'y avait pas plus de nuages qu'à l'habitude. C'était comme si... la couleur elle-même s'estompait, les feuilles, le sol, l'eau, la peux, les plumes, les poils, tout. Tout devenait graduellement de plus en plus sombre. Ce fut la panique. Les gens coururent à l'aveuglette, trébuchant, courant encore, criant, dans tous les sens. Et bientôt, ce fut le noir total. Rien n'était visible. Le noir. Le néant parfait. Puis, tout d'un coup, les ténèbres commencèrent à se déplacer, et à converger juste devant la salle. Une masse noire indescriptible se forma, redonnant la lumière et la couleur au monde. La masse en question se vit définir une forme, et se stabilisa devant les spectateurs de cette manifestation, abasourdis.

Léossier Zhan Némahorr, le Prince Sombre, venait de naître. Le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi avait choisit son premier Porteur.

Mais maintenant, le premier sceau était rompu. Et lentement, les effets commencèrent à se sentir. La venue du Prince Sombre sonna le déclenchement d'événements qui changèrent le monde à tout jamais. Graduellement et exponentiellement, tout autour de lui, Tridivia se transforma. La terre, le ciel, l'eau, les animaux, les plantes, les minéraux et minerais, les dimensions, l'espace, tout se déstabilisa. Des gens moururent, des gens naquirent. Des montagnes grandirent, des vallées se formèrent. Les ressources se fissurèrent, puis se multiplièrent. Le monde entrait dans une nouvelle ère, une ère plus instable, sans possibilité d'évolution, mais une ère infinie. Et c'est tout ce que voulait Léossier.

Ce dernier vit son monde se déchaîner avec un sourire de satisfaction aux lèvres. Enfin il allait pouvoir explorer l'inconnu, le nouveau. Enfin il allait pouvoir développer ses connaissances, et surtout, donner à la technologie le nécessaire pour devenir ultime. Maintenant, il pouvait tout faire, et cela était tout ce qu'il avait toujours voulu. Il avait le pouvoir, il avait le savoir. Tridivia en entier s'inclina devant lui sans qu'il eut à faire quoi que ce soit, il était vénéré, il était un dieu. Le prince étendit son empire sur toute la surface de la planète, et s'appropria toutes les dimensions. Il voulait tout étudier, ce nouveau monde chaotique dans l'équilibre ayant plus à lui offrir qu'il n'aurait jamais imaginé. Son règne fut grandiose, son règne fut puissant. Ce n'était plus un petit royaume qui bénéficiais du Prince Sombre, mais bien toute chose existante et même ce qui n'existait pas encore. Léossier était devenu immortel, invincible, immunisé contre tout, et comptait bien en profiter, son monde ayant tant à lui offrir qu'il allait passer le restant de ses jours à tout découvrir. Pour ce monde qui était maintenant sien. Pour Tridivia.

Cette époque dura des années. C'est alors qu'un jour, venant de nulle part, une jeune fille fit son apparition sur la surface de la planète. Qui était-elle? D'où venait-elle? Personne ne le savait. Complètement nue, elle se mit à explorer le monde dans lequel elle venait d’apparaître. Car Wobmiar Elbuod ne se trouvais pas dans un monde où régnait l'équilibre et la paix, mais plutôt dans un monde perturbé et dangereux. Cette être vagabonda longtemps. On ne parlait d'elle que comme l'on parle d'une supposition, personne n'était vraiment sûr de son existence. Après tout, c'était peut-être seulement une autre manifestation temporaire du monde créé par le premier Porteur du sceau. Puis, sans avertissement, la jeune fille se mit à devenir active. Elle fit fleurir les champs, les arbres. Elle se mit à aider les gens, la nature, à explorer les dimensions, à travailler autant physiquement, mentalement et magiquement. Autour d'elle, tous les problèmes se résolvaient, les solutions aux pires énigmes s'illuminaient. Wobmiar combattait l'instabilité par une sociabilité si puissante que tout semblait possible avec son aide. Elle offrait à qui le voulait bien de résoudre les tracas et réparer tous les soucis. Les gens l'aimaient, mais cela cachait peut-être quelque chose.

En effet, la jeune fille semblait avoir le pouvoir de mettre à ses pieds n'importe quoi. Alors des rumeurs circulèrent. Était-elle un ange ou un démon? Quel était son but, son véritable objectif? Des doutes se propagèrent, et rapidement se relièrent jusqu'aux oreilles du Prince Sombre. Il se questionna. Sa première hypothèse fut qu'elle faisait parti de Tridivia, une erreur quelconque, puisqu'il y en avait eu tellement. Mais prestement, il laissa de côté cette théorie. Elle n'était pas une erreur, elle les réparait. Et pour ce faire, il ne fallait pas faire partie du monde en question. La seule façon que l'on puisse modifier son univers et voyager entre les dimensions était de venir d'ailleurs. Des années durant, immunisé des changements par son statut, Léossier avait été le seul en mesure de contrôler son environnement. Maintenant c'était une étrangère. Une menace. Une curiosité.

Il fit parvenir une annonce globale, demandant à tout citoyen de lui rapporter la jeune fille. Mais cette dernière refusait toutes les invitations, et personne n'arrivait à l’amener, même de force. Son inquiétude montant, le Prince Sombre envoya quiconque voulait bien participer à la chasse, devant la rapporter, morte ou vive. Mais, étrangement, tous les tridiviens revenaient bredouille. Ils disaient être incapables d'accomplir les actes, qu'ils étaient comme manipulés par ses pouvoirs. N'y tenant plus, Léossier Zhan Némahorr décida de partir lui-même à la recherche de ladite Wobmiar.

Il la trouva facilement. Elle ne se cachait même pas, et continuait à agir ouvertement, aidant tous ceux qu'elle pouvait. Toujours sans pudeur, elle passait comme ça lorsqu'elle vit le prince. Leurs regards se croisèrent. La jeune fille comprit aussitôt que cet homme était venu la tuer, et qu'aucun de ses charmes, maléfices ou autres manipulations magiques ne pouvaient l'affecter. Alors elle s'enfuit. Et il la pourchassa. Ce fut une traque ardue pour l'homme, car il semblait que si lui était immunisé contre les pouvoirs de la femme, cette dernière pouvait manipuler les choses de cet univers à sa bonne volonté. Les plantes, les roches, les animaux, tous s'entraidaient pour défendre la proie, ralentissant le chasseur. Tous les êtres de ce monde, pensants ou non, même les plus fidèles à leur vénéré, faisaient obstacle à Léossier, lui étant plus déterminé que jamais à tuer cette personne, importune dans son monde. La traque dura des jours et des jours. Vint enfin le soir où il la rattrapa. Alors, pour se cacher, Wobmiar Elbuod ouvrit une porte et la referma derrière elle. Le prince allait la suivre lorsqu'il leva les yeux et compris quel était cet endroit.

Le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi se tenait là, maintenant, devant lui. La jeune fille avait pénétrée dans l'une des salles. Pour n'importe qui d'autre, Léossier serait simplement parti et l'aurait laissé comme morte. Mais, il le sentait bien, cette fois-ci, c'était différent. Alors il s'assit et attendit. Longtemps. Il était patient. Plusieurs jours plus tard, après s'être bien assuré que cette fille étrange ne reviendrait plus, il se leva. Il allait s'apprêter à partir lorsqu'il remarqua quelque chose d'étrange. La couleur des plantes semblait se déplacer sur les surfaces, et s'entremêler dans l'air. L'eau et ses reflets voyaient eux aussi leurs colorisations se mouvoir de façon chaotique. Lui seul ne subissait pas cet effet, qui touchait maintenant tout autour de lui. Rouges, oranges, jaunes, verts, bleus, violets, toutes les palettes dansaient partout. Lorsque toute chose en ce monde sembla recouvert de couleurs dansantes, sans avertissement celles-ci s'élevèrent vers le ciel, et se mirent à converger juste devant la salle. Les couleurs agglutinèrent, puis les pigments explosèrent dans un flash de lumière.

Wobmiar Elbuod, la Dame Couleurs, venait de naître. Le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi avait choisit sa deuxième Porteuse.

Sans attendre, le souverain de ce monde la captura et l'enferma. Il ne pouvait plus la tuer, mais il allait la faire souffrir. Personnellement. Car il savait ce qui allait se passer. Un autre sceau était brisé, et cela allait affecter son monde parfait, sa planète qui était toute sa vie. Et il avait raison. Les lois mêmes de la matrice de Tridivia se modifièrent. Des murs invisibles, des manifestations étranges. De nouveaux êtres apparurent, des êtres avec pas, peu, ou beaucoup de pouvoirs sur le monde. Tout cela était loin d'être normal et, devant l'inhabituel, si Léossier était souvent en parfaite harmonie commutative avec son entourage, là, c'était l'incompréhension qui l'assaillait. Des zones explosaient, d'autres non. Les éléments agissaient n'importe comment, c'était devenu le chaos total. Le Prince Sombre le sentait, il allait perdre le contrôle, le contrôle de son monde. Par punition, et surtout par colère et vengeance personnelle,il fit subir à Wobmiar les pires tortures inimaginables.

Puis un jour il n'arriva plus à la toucher. La Dame Couleurs le regarda alors dans les yeux, comme pour lui dire que c'était fini, et se dirigea vers la sortie. Ses blessures se refermèrent à chaque pas. Son détenteur fit tout ce qui était en son pouvoir pour l'arrêter, mais rien n'y fit. Aucune de ses machines, rien de sa magie, ni de sa technologie, n'arrivèrent à la stopper. Calmement, la jeune fille disparut à l'horizon, un arc-en-ciel traversant le ciel de part en part. Léossier avait perdu son monde exclusif. Maintenant, c'était Wobmiar la maîtresse.

Il se morfondit longtemps, se questionnant sur sa personne. Il était toujours le Prince Sombre. Il avait toujours ses pouvoirs. La raison de son désemparement le désorientait, il n'arrivait pas à saisir tout ce qui se passait autour de lui. Tridivia arrivait à une autre époque, et le génie qu'il était ne pouvait se permettre de s'effondrer devant l'inconnu. L'inconnu, il l'avait bravé toute sa vie. Ce n'était pas une stupide légende ou un bâtiment tel que le Cent-Trente-Douzième Théorème De Pi qui allait le faire renoncer à son monde. Mais cette fois-ci, il allait avoir besoin d'aide. Il avait besoin de Wobmiar. Et cette femme, puissante ou non, allait aussi avoir besoin de lui. Il était persuadé que cette alliance était sa dernière chance, la meilleure solution pour tous les tridiviens. Alors il se mit en route. Il savait où aller; suivre l'arc-en-ciel jusqu'à l'horizon allait le mener directement à destination.

Plus il marchait, plus il sentait quelque chose en lui. Il eut le temps de se remémorer son passé, ses erreurs, ses fautes, ses succès, ses joies et ses tristesses. Il avait mal. Wobmiar lui manquait. La Dame Couleurs avait fait bien plus que déstabiliser son univers, elle l'avait rendu amoureux. Pas de la manipulation, simplement l'amour véritable. C'était une émotion qu'il n'avait jusqu'alors jamais expérimenté. Il eut honte. Honte de son passé. Embarrassé par ses propres colères, ce déshonneur complet qu'il avait fait part. Et, pendant qu'il était perdu dans ses pensées, il atteignit finalement le point où l'horizon et l'arc-en-ciel se croisaient. C'est une voix douce féminine qui le tira hors de sa torpeur. Il leva les yeux. Sur une petite colline se tenait debout la plus ravissante des jeunes femmes. Tout d'abord, il ne sut quoi dire. Alors la Dame Couleurs s'approcha de lui, et l'embrassa tendrement sur les lèvres. Pendant un moment qui sembla durer une éternité, ils s'enlacèrent sans bouger, puis Léossier se détacha et s'agenouilla. Il présenta ses excuses, les excuses les plus sincères qu'il n'ait jamais fait. Wobmiar vit qu'il pleurait. Alors elle le serra dans ses bras et pleura à son tour.

Depuis ce jour, la Dame Couleurs et le Prince Sombre dirigent Tridivia ensemble. Le monde retrouva grâce à eux une ère à nouveau glorieuse, et c'est grâce à leurs pouvoirs combinés qu'ils arrivèrent à tirer le maximum du potentiel que chaque dimension pouvait leur offrir. Le futur était prometteur.

La légende fut oubliée à nouveau.
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